22 mars 2018
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23:28
L’oxygène libre
L’oxygène libre
Caresse mon âme,
Ivre de vie
Et de la belle mélodie
.La silhouette chante
Les fragments de l’existence.
La belle chanteuse
Se métamorphose
En oiseau gazouilleur,
Le corps se marie
À l’âme prodige,
Et les hanches valsent la belle sonate,
Un émerveillement rêveur
Laisse sourire les lèvres de la nature,
L’air pur endosse
L’environnement d’un bien-être
L’espace vêt d’une robe
Joyeuse et épanouie emballe mon paraître baladeur.
© Fattoum Abidi
22.3.2018.
fattoumabidi
21 mars 2018
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18:53
Des petites fleurs de bonheur
Des petites fleurs de bonheur
Honorent la silhouette de la lueur,
Les peines demeurent dans la poche
De la sagesse, les maux oublient les pleurs de l’âme.
La pioche bienfaiteur
Remue la terre, sème
Les grains de petits bonheurs,
Le cœur accueille la semence de bienfaisance.
Quant au sourire, il égaie l’interlocuteur,
Un gentil geste recharge
Les barateries de l’espoir,
Et la belle main plante un arbre de vie.
Des petits bonheurs,
Injectent un bon tonus dans l’être,
Le cœur offre un germe de fleurs,
À l’âme d’amour, il s’embaume.
Quant aux peines l’être
Se soucie des tracas,
Il les enterre dans le gouffre
De l’oubli des aléas.
© Fattoum Abidi
21.3.2018.
fattoumabidi
20 mars 2018
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14:43
La belle âme
La belle âme
Se voit silencieuse,
L’heure est brumeuse,
L’écume raconte.
L’oiseau se perche
Sur l’arbre de la chance,
Il observe l’horizon intense.
La fleur éclot d’odeur finesse.
La belle âme
Demeure noble
Malgré les bêtises
Nocives, des esprits dévalent.
La bonté éclaire un monde
Incompris et indécis,
La sagesse éponge
La méchante ivresse
Deux forces paradoxales
Se combattent
Celle du négatif et celle
Du positif et le positif gagne.
© Fattoum Abidi
20.3.2018.
fattoumabidi
19 mars 2018
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19:18
Le cœur compte
Le cœur compte
Le temps de sa patience,
L’âme chiffre
Ses souffrances,
Et les gens paumés
Cherchent un abri légitime.
Le temps étale
Ses moments,
D’épreuves
Maîtresses persistent,
Ö ! Maux cessez de foncer,
Ö ! Justice siégez vite.
Le cœur compte,
L’âme effleure,
Les épaules se déséquilibrent
De leurs maux pesants,
Au clair de la lune
Le songe erre sur les ailes silencieuses.
Feuilletant les pages
Du temps, les émotions
Lisent la chance
Fugitive et saccagée.
La dignité est froissée
Sous les doigts de l’injustice.
Les instants courent
Vers l’avant,
Et les souhaits
Ne sont pas encore exaucés.
Le réveil sonne très tôt, alertant
Il indique qu’il faut accélérez ses projets.
L’espoir est au rendez-vous,
Il ne cesse jamais d’assister
Le sentiment de cafard coincé
Dans la gorge de l’énoncée, il apaise.
Sur l’ardoise du siècle on marque
Les douleurs profondes des belles âmes
© Fattoum Abidi
19.3.2018.
fattoumabidi
18 mars 2018
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15:29
Cœur meurtri
Cœur meurtri,
Le chagrin pinçait,
L’âme attristait,
La plume consolait.
Les yeux lisaient,
Des mots étouffés,
Dans le gouffre
Se pliait la tristesse émue.
Cœur meurtri,
Le vilain mal sème
Les grains noircis,
D’une semence nocive.
L’âme fait recours
À la lumière éclaireuse,
D’un espoir sollicité,
La société se veut saine et équilibrée.
© Fattoum Abidi
18.3.2018.
fattoumabidi
18 mars 2018
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00:56
Narration obscure
Narration obscure
Vient frapper sur la porte
De ma nuitée nocturne,
Il fait frais et maussade.
Les tripes de l’espace
Tremblent,
Frissonnent
Et ses émotions gémissent.
La nuit avale son silence,
Le bruit de l’archet de la musique
S’absente et la partition reste
Pliée et roulée dans le sac de guitare.
L’oiseau demeure
Muet, son âme observe
L’horizon de la tristesse,
Car sa bien-aimée n’a pas donné signe de vie.
Narration obscure
Les sens me demandent
Où elle est passée la colombe
De l’amour et de la paix universelle.
Je les réponds : elle
Souffre de sa profonde blessure
Car la silhouette du mal a attaqué la belle,
L’espoir rebelle sursaute et il épaule le moineau de songe
© Fattoum Abidi
17. 3. 2018.
fattoumabidi
17 mars 2018
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12:26
Un beau matin optimiste
Un beau matin optimiste
La silhouette éponge la noirceur pessimiste,
L’encre sème de bonheur pacifiste,
Elle adore les gens humanistes.
Le vent heurte l’âme
Humaine, il siffle
Fort contre le corps de silence,
Où la muse traverse indifférente.
La tension nerveuse
A monté les escaliers détendus,
L’oiseau chanteur apaise
Les nerfs compressés.
Un beau matin optimiste
Charge les batteries
De la patience inédite,
L’âme respire l’oxygène de l’espoir bénévole.
© Fattoum Abidi
17.3.2018.
fattoumabidi
16 mars 2018
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14:40
Le jour tend sa main
Le jour tend sa main,
À un soleil serein
L’oiseau chante le sonnet divin,
Et l’amour s’accroche au noble moulin.
Dans le regard de la missive
Clignote la lueur de l’âme,
Messagère de la bonté généreuse
La pupille des yeux rêveurs éclaire le monde.
La brise matinale caresse les mèches
Des cheveux rebelles,
Le temps compose sa mélodie,
Le printemps arrive en joie.
Le jour tend sa main
L’oiseau valse un refrain,
Les pâturages demandent l’arrosoir divin
La pluie se fait rare, la terre prie le destin.
© Fattoum Abidi
16.3.2018.
fattoumabidi
15 mars 2018
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19:44
La sentence muette
La sentence muette
Gémit en cachette,
Et pourtant elle est chouette
Elle pose en bouclette.
La mouette
Chante avec Causette,
Une tristesse sauvette
L’art dessine l’artiste vedette.
Dans le métro la dame muette
Est heurtée par un passager aveuglette,
Il ne demande pas pardon à Causette,
Le conducteur avale sa nervosité sauvette.
La sentence muette
Griffonne les mots blets,
Les vers dressent ses palettes,
Ils décorent une toile triste en navette.
Oh ! Un manque crie Odette,
Elle s’est absentée depuis son état d’âme grisette
La méchanceté balaie la silhouette
Qui construit un château pour un monde vedette.
Par là la sentence muette,
Entend une belle chansonnette,
Valsant la princesse Alouette,
Alors le corps fatigué, s’est apaisé et il s’est arrêté net.
© Fattoum Abidi
15.3.2018.
fattoumabidi
14 mars 2018
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18:47
Un matin solitaire
Un matin solitaire
Seul à seul
Avec la nature
Le cœur chante en solo.
Dans le jardin la perle
De pluie descend en cerceau,
Elle pose ses ailes sur la feuille de berceau.
Quant à l’âme elle décrit ses maux.
Le ciel assiste
Le solfège
Du triste moineau,
Valsent les oiseaux,
Les notes suivent,
Les mots des tourtereaux,
Chantant en chœurs
Ils chavirent.
Un matin solitaire
Improvise la mélodie
De l’aurore levant
Le violon compose,
Le crépuscule couchant.
Le chat siamois caresse
Ses bébés chéris.
Ils prêtent leurs oreilles à la belle mélodie.
Le bruit de silence
Se métamorphose
En symphonie
Apaisante et réconfortante,
La douleur est enceinte,
Elle est grosse comme
Un épais fardeau,
La silhouette se berce.
.
La verve adore la quiétude,
Où elle griffonne
Des mots magiques,
Les sentences s’émerveillent
Des syllabes innovatrices protestent
Contre les maux grotesques,
L’espoir accoure
La mélancolique colombe rebelle.
© Fattoum Abidi
14.3.2018.
fattoumabidi