J’entends prier les oiseaux,
J’entends prier les oiseaux,
Depuis tôt le matin,
Avant la levée du soleil,
Dont l’Aurore est une beauté exquise,
Sur la rive du beau cerise symbole du délice de la vie,
Dont l’ardeur nous arrose de la belle senteur matinale et pieuse,
Dans un monde vaste, mystique et magique,
Je vois percher les pigeons de l’amour,
Sur les arbres de l’espoir,
Qui chantent la mélodie de la magie du bonheur,
Je vois valser les arbres de la liberté,
Des peuples amoureux de la dignité,
J’entends les bruits,
Des indignes du monde,
Chantaient la liberté
Et,
Criaient égalité
A la recherche de la justice et de la démocratie, dans le monde,
J’entends chanter les oiseaux,
Avec un glamour du jasmin de la liberté,
Avec une senteur du parfum de la justice,
Dont le robinet coule à peine dans le monde,
Et,
Que je tiens à le faire couler à grande vitesse,
Afin de récupérer le temps perdu,
D’un monde qui a beaucoup réclamé la justice l’amour et la paix,
Afin de passer la reconstruction des pays après les révolutions et après les guerres.
Fattoum Abidi (droit d’auteur).