19 février 2015
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La tristesse du cœur
La tristesse du cœur,
A une douleur de l’âme
Le temps regarde la matière
Des gens esclaves de l’argent.
La bonne parole devient,
Une chimère du sifflet du vent
Tenir sa parole devient une devise rare
Les valeurs restent submergées sur le bord de la mer.
L’oiseau vole, il bat ses ailes,
La colombe chante, elle survole
La planète du beau temps,
J’erre entre les sillons de la bonté.
Mon amour de la poésie est en exquise beauté,
Il s’habille en douce gaieté
Mon âme écrit des douleurs
Et mon cœur la console.
La console de ma douce radio,
M’envoie du belle mélodie,
L’oiseau s’est mis à écouter
Cette belle symphonie humaine.
© Fattoum Abidi 19.2.2015.